Dans un des précédents billets ‘Cineviernes’ je vous avez promis de parlez de quelques perles du cinéma gay que j’ai eue l’occasion de voir. Mais entre temps je me suis oublié, et j’ai vécu quelques aventures passionnante (pour moi) que je viendrais peut être vous comptez ici bientôt.
C’est mes deux dernières acquisitions qui m’on fait repensé a cet idée de billet : ‘Kaboom’ de Gregg Araki, a qui l’on doit Mysterious Skin, et Were The World Mine de Tom Gustafson.
Bien que les personnages de Smith et London, interpréter par Thomas Dekker (Heroes, The Sarah Connor Chronicle) et Juno Temple dans Kaboom, soit des personnages gays, je n’ai pas le temps de parler de se film dans se billet. Ni l’envie d’ailleurs, car il faudrait que je sois sous acide comme l’été Gregg Araki quand est née l’histoire de cette secte aux relations sexuelle pluripartite qui causerais la fin du monde si ceci et puis cela.
Ce qui m’amène directement à vous parlez de Mysterious Skin.
"Qui nous raconte l’histoire de Neil (Joseph Gordon-Levitt, Inception) et Brian (Brady Corbet, Les Sentinelles de l’Air) qui enfant ont vécu la même chose. Neil, lui, est un petite frappe, je dirais même que c’est un prostitué car les gens tombe facilement amoureux de lui, mais lui ne s’attache jamais. Faut dire aussi qu’il aime toujours l’homme qui lui apprenait à jouer au baseball quand il avait 8 ans.
Brian est persuadé qu’il a était enlevé par des extraterrestre et Avalyn le conforte dans son délire et le pousse à rechercher Neil qui lui apprendras la tragique vérité sur les lieux même de …"
Avec se film Gregg Araki signe un de ses plus grand chef d’œuvre. Simple et sans prétention aucune, il met en scène la réaction de deux personne face a un même évènement. L’un, Neil, tente de recréé par tous les moyens se moment avec des inconnus. L’autre, Brian, s’enferme dans sa folie des OVNI, fait des crises d’évanouissement, des absences, etc.
Se film est criant de vérité, grâce a l’interprétation des acteurs principaux bien sur. Mais aussi grâce au petit-Neil, Chase Ellison et au petit-Brian, George Webster qui dans les scènes flash-back du ‘moment’ (pour ne pas trop vous spoiler sur l’action même si je pense que vous avez déjà compris se qu’est le moment) sont vraiment remarquable et criant de vérité, de sincérité dans leurs gros plans.
Outre une histoire très bien écrite et interpréter dans ses rôles principaux, Gregg Araki, a bien choisi ses rôles secondaires. Michelle Trachtenberg, la pénible Dawn Summers de Buffy Contre les Vampires, y joue la meilleure amie, si on peut dire, de Neil. Avalyn, qui est pour ainsi dire une personne a qui peut se confier Brian est interpréter par Mary Lynn Rajskub LA Chloé O’Brian de 24 Heures Chronos.
Dans le second film dont je compte vous parlez se soir on retrouve Joseph Gordon-Levitt aux côtés d’une autre actrice du Buffyverse, Amber Benson aka Tara. Mais cette fois dans un rôle secondaire. Un des rôles principaux de ‘La Tentation d’AAron’ (Latter Days en VO) est tenu par Wes Ramsey, le Wyatt Halliwell adulte de Charmed. Il y joue le rôle de Christian, un gay qui passe plus de temps a jouer avec l’homme d’une nuit qu’a chercher l’homme d’une vie.
Mais se n’est pas son histoire que le film raconte. Enfin presque. Le film raconte l’histoire d’Aaron, un jeune mormon de l’Idaho qui débarque à L.A. pour prêcher la bonne parole. Lui et son groupe se retrouve avec comme voisin Christian. Qui comme je l’ai déjà dit est un mec ouvertement gay qui passe plus de temps a danser sur des mec qu’a rechercher le mec avec qui il finiras. Quand il fait la connaissance de ses jeunes mormons (dont fait parti Joseph GL) Christian fait un pari, celui de coucher avec l’un d’eux. Il jette bien entendu son dévolu sur Aaron, qui n’est pas insensible à son charme. Qui ne le seraient pas ?
Vu que l’histoire du film est un très téléphoner, on est que très peu surpris par ce qui arrive aux personnages. On sait par avance que Aaron s’enticheras de Christian est inversement. On sait qu’il sera attristé pour le pari et ne le pardonneras pas a Christian. On sait aussi comment il apprendra pour le pari. Roméo et Juliette, West Side Story (qui est une version contemporaine de Roméo et Juliette ne l’oubliez pas) se serve déjà du messager de mauvaise augure. Selon moi les plus beaux passages du film, sont plus ou moins en dehors de l’histoire principale comme par exemple quand Christian remplace un de ses amis dans un de ses boulots et qu’il croise la route d’un mec séropo avec qui il devient ami (N’oubliez pas les 1er, 2 et 3 Avril prochain faites vos promesses de don pour le Sidaction au 110), quand sa colocataire et meilleure amie devient une célèbre chanteuse après des années de galère, quand Aaron fait la connaissance de la patronne de Christian en pleurs devant un hôpital, etc …
Je viens juste de me rendre compte qu’avec tous les films dont je compte vous parler, se billet seras très long, et même trop. Je vous donne donc rendez-vous la semaine prochaine pour ‘Were The World Mine’ et ‘Comme un Garçon’, Get Real en VO.