20110408

CineViernes, The Lost One

New day, new week, and you know that, new ‘CineViernes’.


Pour le dernier film dont je vais vous parlez petit voyage dans le temps, et ce sans Tardis (il n’est pas beau le nom de mon poisson ?). Si je n’ai pas situé d’époque dans les précédents films c’est qu’ils sont assez contemporains à notre époque, enfin à la mienne, pour qu’il soit nécessaire de les datés. Mais Dream Boy de James Bolton, prend son action vers la fin des années 70 dans un coin paumé du sud des Etats-Unis.

Nathan (Stephan Bender, un des jeune Clark Kent dans Superman Returns) et ses parent viennent d’emménager dans la petite ville de St Francisville en Louisiane. Nathan est quelqu’un de timide et de renfermé, il ne parle pas souvent. Mais quelques temps après son arrivé a St Francisville il se lie d’amitié avec Roy, son voisin qui a seulement 2 ou 3 ans de plus que lui. Petit à petit l’amitié se transforme en histoire d’amour.

Je suis désolé, mais je vais avoir du mal a vous parlez de se film. Il est magnifique mais aussi très triste. A chaque re-visionnage je m’arrête 20 minutes avant la fin pour ne pas voir comment se finit leur histoire. Leurs histoire d’amour est … dire qu’elle est romantique n’est pas suffisant pour la décrire. Par contre dire que la fin est tragique, est bien faible comparé au déluge d’émotions que provoque la bande son, et les images de … revenant sur des lieux pour dire au revoir a celui qui reste ... Je dirais juste qu'il est a voir, entre les bras de la personne que vous aimé, pour être bien sur qu'elle est toujours là.

Ayé j’ai finit d’écrire se billet, et de re-visionné les films en intégralité pour être sur de ne rien oublié. Par contre vous, vous n’avez pas encore fini, il vous reste un choix à faire : Visionner, ou pas un ou plusieurs de ses films et me dire ce que vous en pensé, vous.

Pour vous aider je vous remets la liste dans l’ordre de mes préférences du plus pire au moins meilleur. Dream Boy, Were The World Mine, Comme un Garçon (Get Real), Mysterious Skin, La Tentation d’Aaron (Latter Days).

20110401

CineViernes, Be mine & Be me


Qui dit nouveau vendredi, dit nouveau ciné et qui dit ciné et vendredi dit ‘CineViernes’. Et bien entendu vous avez rendez-vous avec la suite des perles du cinéma Gay.


Que se passerais-t-il si "Le Songe d’une Nuit d’Été" de William Shakespeare devenait réalité ?

C’est ce que nous propose Tom Gustafson dans son film Were The World Mine où il reprend l’histoire du son court-métrage "Fairies". On y retrouve Wendy Robie interprétant le rôle de Miss Tebbit (dans le court-métrage, et dans le film) professeur de littérature anglaise dans un Lycée de garçon.

Un des ses élève Timmothy est gay. Tous le monde, ou presque, passe son temps a le brimé. Bien qu’il l’insulte de temps en temps, Timmothy est amoureux de Jonathon (ce n’est pas un faute de frappe il s’appel bien Jonathon) le meneur de l’équipe de rugby du collège. Mais il y a un problème Jonathon est hétéro et il sort avec une pompom girl. Enfin ce n’est maintenant plus un problème vu qu’en étudiant le rôle de Puck, pour jouer Songe d’une Nuit d’Été devant toutes la ville. Timmothy tombe sur une potion magique, qui si il en asperge les yeux d’une personne, celle-ci tomberas amoureuse de la première personne qu’elle verra. C’est ainsi que tout le lycée et toute la ville qui lui faisait vivre un enfer est devenue comme lui, GAY.

D’accord se film, est fait autour de quelques chansons et numéraux de danse sublime. Mais se n’est pas se que l’on peut appeler une comédie musicale à la High School Musical comme j’ai put le lire. Surtout que se n’est pas le plus intéressant dans se film. Grâce a cette histoire de fée, il a insufflé la magie qui a rendu une ville entièrement gay, une ville qui a dit oui au mariage de 2 personnes qui s’aime d’amour.

Comme Timmothy dans "Were The World Mine", Steven Carter dans Comme un Garçon (Get Real en VO) sais qu’il est gay depuis tout petit (11 ans). Mais lui ne l’as dit a personne, seul sa meilleure amie et voisine Linda est au courant. Mais il se fait quand même insulté traité de PD par quelques débiles du lycée. Pour "vivre" ce qu’il est, Steven se rend souvent dans des lieux de drague gay pour des plans … vous voyez quel genre de plans. Mais un jour il est abordé par accident par John Dixon. Le plus beau mec de son Lycée, capitaine de l’équipe de relais et déjà fiancé a une fille (un mannequin) qui est venu sur se lieu de drague car il ne sais pas où il en est. Une sorte de complicité caché se créé en eux deux, ils deviennent amant. Mais les choses tournent mal car Steven en est déjà a l’étape où tous le monde doit savoir qu’il est gay, John lui n’est pas encore prêts a faire le pas. Steven révèleras sont homosexualité dans un article qui aurais du paraitre dans le journal de son lycée mais qui seras censuré par le directeur. Il y révèlera la difficulté que c’est de vivre caché, de ne pas pouvoir montré ses sentiments, de ne pas pouvoir marcher main dans la main, dans la rue, avec la personne que l’on aime.

La scène finale de Get Real, n’est pas sans rappeler l’affiche du film. Faut dire aussi que c’est la scène la plus important du film, le but recherché par tout bon PD. Elle fait suite aux révélations de Steven devant son lycée entier et sa famille, a une scène d’adieu (pour ainsi dire) entre Steven et John. On y retrouve Steven et sa meilleure amie Linda en voiture avec en guise de générique de fin Aretha Franklin entonnant des chants de liberté avec Think.

Ayé, c’est finit pour aujourd’hui. Rendez-vous en 8, pour Dream Boy.